Un jour, j'irai vivre en théorie parce qu'en théorie tout se passe bien.
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vendredi 30 octobre 2009
vendredi 23 octobre 2009
Découvrez Les moments de grâce de Willy Ronis (interview) sur Culturebox !
Willy Ronis is the son of a Jewish immigrant from Odessa in Ukraine and a Lithuanian Jewish pianist who fled in the early twentieth century pogroms. Music lovers, they met in a friendly Russian exile and settled in the 9th arrondissement of Paris. After a job in photography retouching studio deemed "to erase the wrinkles of the ladies," his father opened his own studio under the pseudonym Roness. Their son, Willy, born in Paris at the foot of the Butte Montmartre.
Willy Ronisen wants to become a composer of music. But when he returned from military service in 1932, his father, very patient, asked to help in the studio. There is little interest in conventional photography, but a passion for photography exhibitions. His political views lean to the left, he photographed the workers' demonstrations of 1934. In 1936 his father died, the studio is sold and the family moved in the 11th arrondissement.
From that date, he has concentrated on reportage. With the rise of the Popular Front, the same ideals closer Ronis Robert Capa and David "Chim" Seymour, already famous photographers. It also has the opportunity to know Kertesz, Brassai and Cartier-Bresson. But compared to the vision of its peers, Willy Ronis develops a true original, marked by attention to "harmony choral movements of the crowd and the joy of festivals.
After World War II, he joined the Rapho agency and supported by his friend Romeo Martinez works at a Glance, Time and Life.
Belleville-Menilmontant On the thread of chance My Paris are among the important books he has published. We could then say that Willy Ronis, Robert Doisneau and Edouard Boubat, is "one of the major photographers of this school of French post-war who managed to combine talent with humanistic values and the aesthetics of poetic realism . He will participate in the 1950 Group XV alongside Robert Doisneau, Pierre Jahan or René-Jacques to defend the photograph as a true artistic expression.
In the years 1970-1980, along with its activities as a photographer, he spends considerable time teaching: the Art School of Avignon, then to the faculty of Aix-en-Provence and Marseille. He created a course on the history of photography and Jean-Pierre Amar meet him then. In 1972 he moved to L'Isle sur la Sorgue (Vaucluse).
In 1983, on the advice of Guy The Querrec, Claude Nori published his first monograph on the wire of chance to Contrejour editions, which will receive the Prix Nadar and encouraged him to get back on the front of the stage for new projects. In 1983 he donated his work to the French State.
In 2001 he created his last series of photos.
In late 2005, the City of Paris devoted a retrospective on his fifty years of wanderings in the neighborhoods of Belleville and Menilmontant.
Today the work of Willy Ronis is exposed in the world and his images are in the collections of major museums.
He died on the night of 11 to 12 September 2009 at the age of 99 years.
Découvrez Quand Willy Ronis immortalisait Paris sur Culturebox !Willy Ronis est le fils d’un émigré juif d’Odessa en Ukraine et d’une pianiste juive lituanienne, ayant fui au début du xxe siècle les pogroms. Mélomanes, ils se rencontrèrent dans une amicale d’exilés russes et s’installèrent dans le 9e arrondissement de Paris. Après un emploi de retoucheur en photographie dans un studio réputé, « pour effacer les rides des dames », son père ouvre son propre studio sous le pseudonyme de Roness. Leur fils, Willy, naît à Paris au pied de la Butte Montmartre.
Willy Ronisen veut devenir compositeur de musique. Mais lors de son retour du service militaire en 1932, son père, très malade, lui demande de l’aider au studio. Il est peu intéressé par la photographie conventionnelle mais se passionne pour les expositions de photographies. Ses opinions politiques penchent à gauche ; il photographie les manifestations ouvrières de 1934. En 1936, son père meurt, le studio est vendu et la famille déménage dans le 11e arrondissement.
À partir de cette date, il se consacre au reportage. Avec la montée du Front populaire, les mêmes idéaux rapprochent Ronis de Robert Capa et de David « Chim » Seymour, photographes déjà célèbres. Il a également l’occasion de connaître Kertesz, Brassaï et Cartier-Bresson. Mais, par rapport à la vision de ses pairs, Willy Ronis développe une véritable originalité, marquée par l’attention portée à « l’harmonie chorale des mouvements de foule et à la joie des fêtes populaires ».
Après la Seconde Guerre mondiale, il entre à l’agence Rapho et, soutenu par son ami Roméo Martinez, collabore à Regards, Time ou Life.
Belleville-Ménilmontant, Sur le fil du hasard et Mon Paris sont parmi les livres importants qu’il a publiés. On a alors pu dire que Willy Ronis, avec Robert Doisneau et Édouard Boubat, est « l’un des photographes majeurs de cette école française de l’après-guerre qui a su concilier avec talent les valeurs humanistes et les exigences esthétiques du réalisme poétique ». Il participera dans les années 1950 au Groupe des XV aux côtés de Robert Doisneau, de Pierre Jahan ou de René-Jacques pour défendre la photographie comme une véritable expression artistique.
Dans les années 1970-1980, parallèlement à ses activités de photographe, il consacre beaucoup de temps à l’enseignement : à l’École d’art d’Avignon, puis aux facultés d’Aix-en-Provence et de Marseille. Il y crée un cours d’histoire de la photographie et Pierre-Jean Amar le rencontre alors. En 1972, il s’installe à L’Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse).
En 1983, sur les conseils de Guy Le Querrec, Claude Nori publie sa première monographie Sur le fil du hasard aux éditions Contrejour, lequel recevra le Prix Nadar et l’encouragea à se remettre sur le devant de la scène pour de nouveaux projets. En 1983, il a légué son œuvre à l’État français.
En 2001, il a créé sa dernière série de photos.
Fin 2005, la Mairie de Paris consacre une rétrospective sur ses cinquantes années de déambulations dans les quartiers populaires de Belleville et Ménilmontant.
Aujourd’hui l’œuvre de Willy Ronis est exposée dans le monde entier et ses images figurent dans les collections des plus grands musées.
Il meurt dans la nuit du 11 au 12 septembre 2009 à l’âge de 99 ans.
jeudi 22 octobre 2009
lundi 19 octobre 2009
samedi 17 octobre 2009
dimanche 11 octobre 2009
dimanche 4 octobre 2009
Paris 2012
Le but était de placer les 17 000 athlètes et accompagnateurs dans les meilleures conditions au cœur des Jeux. Le concept de Paris 2012, « un village, deux noyaux », plaçait le village olympique et paralympique dans Paris, à seulement 6 km des deux noyaux de sites de compétition regroupant 75% des épreuves. Les voies olympiques, à proximité immédiate, auraient permis de garantir l’efficacité et les temps de déplacement : moins de dix minutes pour rejoindre les noyaux de sites. Il aurait été placé au nord-ouest de Paris, dans le 17e arrondissement sur une friche industrielle appartenant à la SNCF.
The goal was to place the 17 000 athletes and coaches in the best conditions in the heart of the Games. The concept of Paris 2012, "one village, two cores, placed the Olympic and Paralympic Village in Paris, just 6 km from the two clusters of competition, representing 75% of the tests. The Olympic lanes, close, would have to ensure efficiency and travel time: less than ten minutes to reach the venue clusters. He was placed in the north-west of Paris in the 17th arrondissement on a brownfield site owned SNCF.
vendredi 2 octobre 2009
Jacques
Le cimetière du Nord, communément appelé cimetière de Montmartre à la suite de la restructuration de la commune de Montmartre entre 1818 et 1824, fut ouvert le 1er janvier 1825. Le cimetière de Montmartre est situé, à Paris depuis 1860, au 20, avenue Rachel, dans le XVIIIe arrondissement. Il est installé à l'emplacement des anciennes Carrières de Montmartre, réputées pour leur gypse dont on fit un plâtre utilisé sur grande échelle dans la capitale.
Hors des limites de la capitale furent créés le cimetière de Montmartre au nord, le cimetière du Père-Lachaise à l'est, le cimetière du Montparnasse au sud et, au cœur de la ville, le cimetière de Passy.
Le cimetière de Montmartre couvre environ 11 hectares, soit la même superficie que le cimetière des Batignolles, ce qui en fait ex-æquo le troisième plus vaste cimetière intra muros après le Père-Lachaise et Montparnasse. Aujourd'hui le cimetière de Montmartre compte plus de 20 000 concessions et 500 personnes environ y sont inhumées chaque année.
Cemetery North, commonly known as Montmartre cemetery following the restructuring of the town of Montmartre between 1818 and 1824, was opened on 1 January 1825. The Montmartre Cemetery is located in Paris since 1860, at 20 Avenue Rachel, in the eighteenth arrondissement. It is installed at the site of old quarries of Montmartre, famous for its gypsum which they made a plaster used on a large scale in the capital.
Outside the limits of the capital were created the Montmartre cemetery north, the cemetery of Pere-Lachaise is the cemetery of Montparnasse in the south and in the heart of the city, the cemetery of Passy.
The Montmartre cemetery covers about 11 hectares, the same area as the cemetery of Batignolles, which in fact tie the third largest cemetery intramural after Pere Lachaise and Montparnasse. Today the cemetery of Montmartre has more than 20 000 licenses and approximately 500 people are buried each year.